La peinture de Michel Lascault n’est jamais tranquille. Le regard s’abandonne, on se prend à imaginer le paradis, bien vite rejoint par la discorde à venir et par une dysharmonie de circonstance. Tout et son contraire pour affirmer la plénitude d’un chaos que le peintre touche du doigt et corrige par un rire enfantin.
Germain Roesz ( né en 1949), peintre, conjugue la pratique des arts plastiques, de la poésie et de la recherche théorique. Il analyse ici en profondeur quelque 170 peintures de Michel Lascault, réalisées de 2020 à 2022, qu’il relie à Gauguin et aux néo-expressionnistes de la Neue Wilde.